André Rieu
André Rieu à Paris
Le violoniste qui fait valser les foules revient en France pour sept concerts exceptionnels. Accompagné du Johann Strauss Orchestra, l’éternel romantique se plongera dans les mélodies qui nous chantent l’amour et les airs incontournables comme lui seul sait les revisiter. Ce musicien néerlandais, est parvenu, en reprenant les thèmes les plus connus de la musique classique, a rendre populaire dans le monde entier, valses, violon et musique classique. André Rieu sera en concert le 31 mars au Zénith de Paris.
« Enfant, j’étais déjà fasciné par le monde de la musique. Mon père dirigeait un orchestre symphonique et je me souviens combien j’étais impressionné par cet énorme orchestre, par les merveilleux sons qu’il produisait, par tous ces archets aux mouvements si bien synchronisés. Mais déjà à l’époque, je m’étonnais de la solennité qui baignait dans la salle pendant les concerts. Tout le monde avait un air sérieux, il ne fallait surtout pas rire, ni même tousser, alors que la musique était justement pour moi source de joie intense !
Cette solennité qui entoure la musique classique, qui fait peur au grand public et le tient à l’écart, vous ne la trouverez pas chez nous. Notre orchestre se compose de jeunes musiciens enthousiastes qui montent tous les soirs en scène pour jouer avec tout leur cur et assurer avec moi les concerts. Cet enthousiasme se reporte aussi sur le public et pendant nos concerts, le plaisir n’est pas uniquement celui de mon orchestre et le mien mais aussi celui du public. Les gens chantent, fredonnent, scandent le rythme de la musique en tapant des mains, bougent, sautent et dansent, tout est permis !
Chaque soir, notre musique met le public en effervescence et à mon avis, un musicien ne peut rien imaginer de plus beau. Quand je faisais mes études de violon au conservatoire, quelqu’un m’a demandé un jour de jouer dans un orchestre de chambre. C’était la première fois que je jouais une valse : Gold und Silber’ de Franz Lehár. Quelle révélation ! J’ai tout de suite été pris par cette mesure qui des années plus tard allait devenir pour moi comme un rythme de vie : la mesure à trois temps, celle de la valse. Mais maintenant, avec mon propre orchestre, je joue un répertoire qui va quand même bien au-delà des valses. Mon rêve est de faire de tout le répertoire classique une musique qui soit accessible à tous. » (Source Site Officiel)